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de bonnes chansons... mais quelle production lamentable !
Par Anonyme, le 09.06.2019
c'est marcel azzola qui joue de l'accordéon sur anarchie pour uk .
Par Didier, le 22.01.2019
je pense que le manque de subtilité vient de votre part
jean claude pascal était un chanteur remarquable et
Par Anonyme, le 18.10.2018
super ! la même chose pour 1972?
Par Anonyme, le 24.07.2018
merci christian pour ton commentaire. j'en ai 56, et ma passion pour la musique est toujours aussi vivante auj
Par rockclassics, le 01.06.2018
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Date de création : 28.11.2005
Dernière mise à jour :
07.09.2018
1847 articles
Thin Lizzy #1 :
Phil Lynott : chant, basse
Eric Bell : guitare
Brian Downey : batterie
Phil Lynott naît en Angleterre, non loin de Birmingham, d’un père que l'on a longtemps cru Brésilien , en réalité Guinnéen et d’une mère Irlandaise, Philomena, mais est élevé par sa grand-mère, Sarah à Dublin où il fait la rencontre de Brian Downey à l’école.
Il débute sa carrière artistique comme chanteur au sein des Black Eagles mais les quitte pour rejoindre le groupe de Gary Moore : Skidrow (aucun lien avec le groupe de Sebastian Bach) avec Brush Shield à la basse et Noël Bridgman à la batterie.
C’est d’ailleurs Shield qui lui apprend les rudiments de la basse.
Il les quitte ensuite pour rejoindre le groupe de blues de son ami Brian Downey : Sugar Shack.
Lynott et Downey forment ensuite The Orphanage avec entre autres Eric Wrixon (claviers) et un certain nombres de musiciens de passages.
Ils enregistrent un single en 1969, une reprise de “Morning Dew” de Tim Rose, qui obtient un joli succès local.
Le guitariste Eric Bell les rejoint et le groupe prend le nom de Thin Lizzy.
Ce premier Thin Lizzy pré-historique enregistre le single “The farmer/I need you” peu avant le départ Wrixon, un disque autoproduit, tiré à très peu d'exemplaires et introuvable car jamais réédité….
Vers la fin de l'année, Thin Lizzy signe avec Decca et un premier album est publié en avril 1971: “Thin Lizzy”, produit par Scott English.
The friendly ranger at Clontarf Castle (Lynott-Bell)
Honesty is no excuse (Lynott)
Diddy Levine (Lynott)
Ray gun (Bell)
Look what the wind blew in (Lynott)
Eire (Lynott)
Return of the farmer’s son (Lynott-Downey)
Clifton grange hotel (Lynott)
Saga of the ageing orphan (Lynott)
Remembering part 1 (Lynott)
Musicien additionnel :
Ivor Raymonde : claviers (honesty is no excuse)
Un album qui passe complètement inaperçu à l’époque et d'ailleurs, très éloigné du style de hard rock que le groupe adoptera plus tard, plus proche d’un folk progressif, avec de rares moments vraiment électrifiants et quelques grandes ballades irlandaises.
Quelques bons moments : “Honesty is no excuse”, “Eire” et la très belle ballade “Saga of the ageing orphan”.
En août, Thin Lizzy sort un maxi 45 tours : “New Day”, produit par Nick Tauber.
Dublin (Lynott)
Remembering part 2-new day (Lynott-Bell-Downey)
Old moon madness (Lynott)
Things ain’t working out down at the farm (Lynott)
Ce maxi n’obtient aucun succès, malgré la très belle ballade “Dublin”.
Ces quatre titres ont depuis été inclus sur la réédition en CD du premier album.
© Pascal Schlaefli
Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #1 :
Phil Lynott : chant, basse
Eric Bell : guitare
Brian Downey : batterie
Mars 1972, sortie du 2e album : "Shades Of A Blue Orphanage", produit par Nick Tauber.
The rise and dear demise of the funky nomadic tribes (Lynott-Bell-Downey)
Buffalo gal (Lynott)
I don’t want to forget how to jive (Lynott)
Sarah (Lynott)
Brought down (Lynott)
Baby face (Lynott)
Chatting today (Lynott)
Call the police (Lynott)
Shades of a blue orphanage (Lynott)
Musicienne additionnelle :
Clodagh Simmonds : claviers
Encore une fois, un album qui n’obtient qu’un succès d’estime et qui reste très éloigné du hard rock, le groupe jouant un folk-rock progressif aux influences celtiques avec de grandes ballades et quelques influences blues et funk (le premier titre).
Le titre de l’album vient des deux groupes pré-Lizzy dont sont issus les musiciens:
Lynott et Downey viennent de The Orphanage et Eric Bell de Shades Of Blue.
Clodagh Simmonds (plus connue pour avoir chanté sur les disques “Hergest Ridge” et “Ommadawn” de Mike Oldfield) est créditée comme membre à part entière sur les notes de pochettes, mais n’apparaît à aucun moment sur les photos et ne semble n'avoir jamais participé à aucun concert du groupe.
La grande réussite de l’album reste la ballade “Sarah”, écrite en hommage à sa grand-mère, chanson maladroitement sous-titrée version 1 sur les rééditions CD, ce qui pourrait faire croire que le “Sarah” de 1979 est une 2e version de la même chanson alors qu’il s’agit d’une chanson complètement différente dédiée à sa fille.
Thin Lizzy trouve enfin le succès avec son vrai premier 45 tours : "Whiskey in the jar (trad.)-Black boys in the corner (Lynott)" (#6 UK).
Le groupe triomphe enfin avec cette version rock de ce traditionnel irlandais.
Thin Lizzy passe à Top Of The Pops et passablement en radio, mais aura toutes les peines du monde à retrouver un succès comparable et à faire oublier ce titre qui va leur coller aux baskets durant toute leur carrière.
© Pascal Schlaefli
Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #1 :
Phil Lynott : chant, basse
Eric Bell : guitare
Brian Downey : batterie
Mai 1973, nouveau single, le sympathique "Randolph's tango (Lynott)-Broken dreams (Lynott-Bell-Downey)" qui n'obtient par contre aucun succès.
Septembre 1973, les choses se précisent pour le groupe avec un fabuleux troisième album : “Vagabonds Of The Western World”, produit par Nick Tauber.
Mama nature said (Lynott)
The hero and the madman (Lynott)
Slow blues (Lynott-Downey)
The rocker (Lynott-Bell-Downey)
Vagabond of the western world (Lynott)
Little girl in bloom (Lynott)
Gonna creep up on you (Lynott-Bell)
A song for while I’m away (Lynott)
Musiciens additionnels :
Jan Schelhaas : claviers
Kid Jensen : chant (The hero and the madman)
Un superbe album qui voit Thin Lizzy se tourner vers un hard rock couillu (l'excitant “Mama nature said” reste d’ailleurs l’un de mes titres favoris).
Le groupe écrit ici ses premiers classiques dont “Vagabond of the western world” et “The rocker” qui sort en single sans plus de succès que l’album dont il est issu, malheureusement.
Fatigué des tournées incessantes et du stress lié au succès grandissant du groupe, Eric Bell quitte Thin Lizzy à la fin de l’année.
Phil Lynott appelle alors son vieux copain de Skidrow, Gary Moore, qui s’intègre parfaitement au groupe.
© Pascal "The Rocker" Schlaefli
Vagabond Of Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #2 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Gary Moore : guitare
Gary Moore, ex-Skidrow et vieille connaissance du groupe, qui vient également de publier son premier album solo, rejoint Thin Lizzy début 1974.
Le groupe enregistre plusieurs titres avec cette formation : "Little darlin'", "Still in love with you" qui sera publié sur l'album suivant, et probablement "Sitamoia" de Brian Downey qui ne sera publié qu'en 1976 sur une compilation.
Thin Lizzy publie un single en avril 1974 : "Little darlin'-Buffalo gal (Lynott)", malheureusement sans aucun succès.
La face B viens du 2e album "Shades Of A Blue Orphanage" avec Eric Bell à la guitare.
Cette formation prometteuse à tout pour réussir, mais Moore quitte Thin Lizzy peu après, citant les éternelles différences musicales, mais comme dirait Mulder, la vérité est ailleurs : Lynott et Moore, même s'ils se sont toujours respectés et son complémentaires musicalement parlant, possèdent deux forts caractères diamétralement opposés, empêchant toute collaboration à long terme.
Lynott et Downey engagent Andy Gee et John Cann aux guitares pour une tournée allemande catastrophique et le groupe, au plus bas, est sur le point de raccrocher.
Mais de retour au pays, ils font la connaissance de deux guitaristes exceptionnels : le californien Scott Gorham et l'écossais Brian Robertson qui vont venir cimenter le groupe et lui permettre enfin de décoller.
© Pascal Schlaefli
Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #3 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Scott Gorham : guitare
Brian Robertson : guitare
Novembre 1974, premier album de la nouvelle formation : "Nightlife", produit par Phil Lynott & Ron Nerrison.
She knows (Lynott-Gorham)
Night life (Lynott)
It's only money (Lynott)
Still in love with you (Lynott)
Frankie Carroll (Lynott)
Show down (Lynott)
Banshee (Lynott)
Philomena (Lynott)
Sha-la-la (Lynott-Downey)
Dear heart (Lynott)
Musicien additionnel :
Gary Moore : guitare (Still in love with you)
Un album qui ne reçut qu'un succès d'estime, mais il faut dire que l'on est encore loin du style définitif du groupe.
Un album partagé entre le funky/jazzy de "Night life" ou "Showdown" et les grandes ballades comme "Frankie Carroll" ou "Dear heart" et bien trop peu de hard rock, à part "It's only money".
Deux superbes titres néanmoins : la ballade bluesy "Still in love with you" avec Gary Moore et "Philomena", une chanson de Phil Lynott à sa maman, un titre qui sort en single sans rencontrer plus de succès que l'album.
Un album très moyen donc, pas grave, la révélation est proche.
© Pascal Schlaefli
Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #3 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Scott Gorham : guitare
Brian Robertson : guitare
Thin Lizzy trouve enfin son style, et son public (il était temps) avec leur 5e album publié en août 1975 : "Fighting", produit par Phil Lynott.
Rosalie (Seger)
For those who love to live (Lynott-Downey)
Suicide (Lynott)
Wild one (Lynott)
Fighting my way back (Lynott)
King's vengeance (Lynott-Gorham)
Spirit slips away (Lynott)
Silver dollar (Robertson)
Freedom song (Lynott-Gorham)
Ballad of a hard man (Gorham)
Et voici enfin Thin Lizzy dans toute sa splendeur avec cet album puissant et nerveux.
Des classiques comme s'il en pleuvait : leur reprise formidable du "Rosalie" de Bob Seger, "For those who love to live", "Suicide" et l'autobiographique "Wild one".
Si "Fighting" (qui possède une pochette alternative un peu plus menaçante) ne se classe pas dans les charts, pas plus que les singles "Rosalie" ou "Wild one", le groupe se fait bel et bien remarquer des fans de hard rock et des journaux spécialisés et les concerts se déroulent à guichet fermé.
Le succès n'est pas loin...
© Pascal Schlaefli
For those who love to live in Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #3 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Scott Gorham : guitare
Brian Robertson : guitare
Le succès arrive brutalement en mars 1976 avec le nouvel album : "Jailbreak" (#10 UK-#18 US), produit par John Alcock.
Jailbreak (Lynott)
Angel from the coast (Lynott-Robertson)
Running back (Lynott)
Romeo & the lonely girl (Lynott)
Warriors (Lynott-Gorham)
The boys are back in town (Lynott)
Fight or fall (Lynott)
Cowboy song (Lynott-Downey)
Emerald (Lynott-Downey-Gorham-Robertson)
L'un des meilleurs albums du groupe, qui se voit propulser aux premières places des hit parades Européens et Américains avec le single "The boys are back in town" (#8 UK-#12 US), puis avec le follow up "Jailbreak" (#31 UK) qui a dû avoir une influence certaine sur Steve Harris d'Iron Maiden.
Frappé par une hépatite, Phil Lynott est forcé d'interrompre la tournée "Jailbreak" mais loin de se reposer sur ses lauriers, Thin Lizzy prépare déjà un nouvel album.
© Pascal Schlaefli
Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #3 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Scott Gorham : guitare
Brian Robertson : guitare
Créé durant le repos forcé de Lynott, Thin Lizzy publie un nouvel album en octobre 1976 : "Johnny The Fox", (#11 UK-#52 US), produit par John Alcock.
Johnny (Lynott)
Rocky (Lynott-Downey-Gorham)
Borderline (Lynott-Robertson)
Don't believe a word (Lynott)
Fool's gold (Lynott)
Johnny the fox meets Jimmy the weed (Lynott-Downey-Gorham)
Old flame (Lynott)
Massacre (Lynott-Downey-Gorham)
Sweet Marie (Lynott-Gorham)
Boogie woogie dance (Lynott)
Musiciens additionnels :
Phil Collins : percussions
Kim Beacon : choeurs
Superbe pochette pour un autre superbe album, encore une fois, du très grand Thin Lizzy.
Comment ne pas aimer "Johnny" et son riff d'acier ou "Don't believe a word" qui sera un nouveau tube (#12 UK).
Thin Lizzy ne retrouvera jamais le chemin des hit parades américains après "The boys are back in town", mais possède désormais une solide base de fans extrêmement fidèle en Europe.
Novembre 1976, à l'aube d'une nouvelle tournée américaine, Brian Robertson se blesse sévèrement à la main et doit être hospitalisé.
Il est remplacé à la dernière minute par Gary Moore qui quitte à nouveau le groupe une fois la tournée terminée.
L'enregistrement du dernier album a aussi été le théâtre de nombreux clashes entre Lynott et Robertson et c'est en trio que Thin Lizzy entre en studio pour l'enregistrement du nouvel album.
© Pascal The Fox
Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #4 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Scott Gorham : guitare
Lorsque Brian Robertson est hospitalisé en novembre 1976, personne ne sait encore s'il réintégrera le groupe ou non.
Des rumeurs naissent d'ailleurs au sujet d'un nouveau groupe qu'il formerait avec Jimmy Bain, l'ex-bassiste de Rainbow.
Thin Lizzy termine sa tournée avec Gary Moore qui ne reste pas une fois celle-ci terminée.
Thin Lizzy réintègre les studios à trois, Scott Gorham se surpassant en enregistrant toutes les parties de guitare sur la majorité des séances.
Mais surprise, Brian Robertson retrouve le groupe en studio quelques jours avant la fin des séances et va graver quelques titres avec eux.
Le nouvel album sort en septembre 1977 : "Bad Reputation" (#4 UK-#39 US), produit par Phil Lynott, Brian Downey, Scott Gorham & Tony Visconti.
Soldier of fortune (Lynott)
Bad reputation (Lynott-Downey-Gorham)
Opium trail (Lynott-Downey-Gorham)
Southbound (Lynott)
Dancing in the moonlight (Lynott)
Killer without a cause (Lynott-Gorham)
Downtown sundown (Lynott)
That woman's gonna break your heart (Lynott)
Dear Lord (Lynott-Gorham)
Musiciens additionnels :
Brian Robertson : guitare ("Opium trail", "Killer without a cause" & "That woman's gonna break your heart")
John Anthony Helliwell : saxophone
Tony Visconti : recorder
Mary Hopkin-Visconti : choeurs (Dear Lord)
Encore un excellent album, superbement produit par Tony Visconti, offrant un son beaucoup plus clair que par les passé, avec quelques morceaux de bravoures comme ce "Bad reputation" infernal et une incroyable démonstration du talent de Brian Downey .
Brian Robertson joue sur "Opium trail" et "Killer without a cause", mais sa participation à "That woman's gonna break your heart" a été remise en question sur certains sites internets sans que j'ai pu trouver une confirmation solide.
La photo de la pochette recto, réalisée avant le retour de Robertson, montre un Thin Lizzy en trio, tandis que le verson nous montre un Thin Lizzy à quatre, avec Brian Robertson, qui a effectivement réintégré le groupe.
"Dancing in the moonlight", hommage à Van Morrison, une autre légende du rock Irlandais, est publié en single (#14 UK).
Thin Lizzy #3 démarre une nouvelle tournée triomphale qui sera couronnée par un double live en 1978.
© Pascal "Bad Reputation" Schlaefli
Downtown Urba City
Novembre 2011
Thin Lizzy #3.2 :
Phil Lynott : chant, basse
Brian Downey : batterie
Scott Gorham : guitare
Brian Robertson : guitare
Juin 1978, sortie du double live : "Live & Dangerous" (#2 UK-#84 US), produit par Thin Lizzy & Tony Visconti.
Jailbreak (Lynott)
Emerald (Lynott-Downey-Gorham-Robertson)
Southbound (Lynott)
Rosalie (Seger)
Cowgirl song (Lynott-Downey)
Dancing in the moonlight (Lynott)
Massacre (Lynott-Downey-Gorham)
Still in love with you (Lynott)
Johnny the fox meets Jimmy the weed (Lynott-Downey-Gorham)
Cowboy song (Lynott-Downey)
The boys are back in town (Lynott)
Don't believe a word (Lynott)
Warriors (Lynott-Gorham)
Are you ready (Lynott-Downey-Gorham-Robertson)
Suicide (Lynott)
Sha la la (Lynott-Downey)
Baby drives me crazy (Lynott-Downey-Gorham-Robertson)
The rocker (Lynott-Downey-Bell)
Extraits de concerts de la tournée "Johnny The Fox" à l'Hammersmith Odeon en novembre 1976 (Rosalie-Cowgirl's song-Johnny the fox meets Jimmy the weed-Suicide-Sha la la-Baby drives me crazy-The rocker) d'un concert à Philadelphis en octobre 1977 (le reste) et d'un extrait du concert au Rainbow de Londres (Are you ready) en mars 1978.
"Live & Dangerous", largement réenregistré en studio, reste pourtant un très grand live, montrant Thin Lizzy au top avec sa formation classique et offrant souvent de meilleures versions que celles figurant sur les albums.
"Rosalie" version live sort en single et monte à la 20e place des charts anglais.
Après deux concerts sold out à L'Hammersmith Odeon de Londres en août 1978, Brian Robertson quitte Thin Lizzy, cette fois-ci définitivement.
Gary Moore, encore une fois, le remplace au pied levé, minimisant les dégâts causés par le départ de Robertson.
Thin Lizzy démarre une tournée Australienne, sans Downey, fatigué, remplacé temporairement par Mark Nauseef (Elf-Velvet Underground-Gillan).
Un album et un DVD live ont été publiés en 1999 avec cette formation (Boys Are Back In Town : Live In Australia).
Thin Lizzy ayant récupéré son batteur, entre bientôt en studio pour y produire son album le plus populaire .
© Pascal "live & dangerous" Schlaefli
Urba City
Novembre 2011