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de bonnes chansons... mais quelle production lamentable !
Par Anonyme, le 09.06.2019
c'est marcel azzola qui joue de l'accordéon sur anarchie pour uk .
Par Didier, le 22.01.2019
je pense que le manque de subtilité vient de votre part
jean claude pascal était un chanteur remarquable et
Par Anonyme, le 18.10.2018
super ! la même chose pour 1972?
Par Anonyme, le 24.07.2018
merci christian pour ton commentaire. j'en ai 56, et ma passion pour la musique est toujours aussi vivante auj
Par rockclassics, le 01.06.2018
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Date de création : 28.11.2005
Dernière mise à jour :
07.09.2018
1847 articles
Talking Heads #2:
David Byrne: chant, guitare
Tina Weymouth: basse
Chris Frantz: batterie
Jerry Harrison: guitare, claviers
Le 16 septembre 1977, paraît le premier album des Talking Heads: "77" (#97 US-#60 UK), produit par Tony Bongiovi (le frère de ....).
Uh-oh love comes to town (David Byrne)
New feeling (David Byrne)
Tentative decisions (David Byrne)
Happy day (David Byrne)
Who is it? (David Byrne)
No compassion (David Byrne)
The book I read (David Byrne)
Don't worry about the government (David Byrne)
First week/Last week... Carefree (David Byrne)
Psycho killer (Byrne-Weymouth-Frantz)
Pulled up (David Byrne)
Un son minimaliste, quasi live, avec un jeune groupe, dont les limites techniques servent une musique moderne, enthousiaste et révolutionnaire.
David Byrne interprète un citadin moderne, névrosé, psychotique, parfois fétichiste et souvent parano.
Sa voix unique explore toute l'étendue du mal-être de l'homme moderne, sa perte de lucidité et de sagesse, l'amour esthétique qu'il porte à l'univers gris des grandes villes (Don't worry about the government), son attachement aux possessions terrestres et ses déviances qui le mènent peu à peu à la folie.
Influence certaine des Beatles (Uh-oh love comes to town), mais la musique des Talking Heads reste unique en son genre.
L'album fut plus populaire en Grande Bretagne que dans son pays d'origine, ce qui est toujours un bon signe.
Y z'ont du goûts mes potes british.
Ni "Uh-oh love comes to town", ni "Pulled up" n'obtiendront le moindre succès en single, seul le flippant "Psycho killer" se classera dans les charts (#92 US).
En plus de "Psycho killer", je soulignerais comme grands moments de ce disque "The book I read", "Don't worry about the government" et "Pulled up".
Si ce premier album est plutôt sympathique et déjà novateur, le groupe va réussir, grâce au producteur Brian Eno, à nous offrir de bien meilleures chansons sur les buildings et la nourriture.
© Pascal Schlaefli
Urba City In The Sky
30 Juillet 2015
Du même auteur:
Serial Angel Vol.1: Anastase & Perfidule (2014)
The Blacksouls (à venir)
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